Philosophe allemand qui avait relevé le défi de combler le fossé entre la subjectivité et l’objectivité engendré par Descartes, plutôt que résolu de manière satisfaisante par Spinoza ou Kant. Schelling a essayé de prendre soin de la situation du dualisme cartésien, en utilisant le soi conscient d’un côté et aussi la planète extérieure de l’autre, dans de nombreuses opérations, dont la plus importante est sa méthode de transcendantale au début, pourtant monumentale. Idéalisme. À la suite de Kant, Schelling crée une variation entre la «philosophie transcendantale», préoccupée de loin par les aspects les plus fondamentaux de la cognition et de la rencontre, et la philosophie organique, la science des éléments que nous choisissons habituellement d’utiliser devenant la communauté extérieure. Schelling nous invite à réfléchir à ce qu’ils présupposent à l’autre. Si une personne commence avec la philosophie organique, il faut rendre compte gratuitement du phénomène dans le personnel conscient, car il survient en général. Si l’on commence par la phénoménologie de la conscience, il faut rendre compte de la source des choses de substance parce qu’elles surgissent lors d’une rencontre consciente. Par conséquent, comme Hegel le fait remarquer sur Schelling, «ces deux procédures distinctes sont globalement très clairement exprimées: la procédure qui passe de la nature à l’objet, qui est majeure du moi pour l’objet». Schelling décrit son entreprise depuis la réconciliation du subjectif avec tout l’objectif. Ce sont en fait un particulier ainsi que la même chose. Une approche transcendantale appropriée doit montrer la façon dont les deux sont unis en un seul, faisant partie de la même vérité qui englobe tout, l’Absolu. Schelling explique la manière dont la recherche médicale du monde naturel conduit à la conclusion inévitable de l’existence d’un problème, et donc à la reconnaissance de l’intelligence au sein de l’achat tout naturel. À cet égard, il vient après la conception aristotélicienne du monde organique téléologique ou propulsé par un but. Mais la vue de Schelling est beaucoup plus englobante que celle d’Aristote et ne concerne vraiment que la légèreté quand il parle de la façon dont on commence à travers le subjectif et travaille activement vers le but. Basée sur Schelling, l’approche transcendantale doit commencer par la conscience subjective de soi, en d’autres termes, la conscience personnelle. Le système de l’idéalisme transcendantal est « le mécanisme dans l’origine de la planète objective à partir de votre principe intérieur d’activité spirituelle ». Dans la conscience personnelle, le moi est également sujet et sujet.