L’Europe se cherche un green deal

La nouvelle présidente du paiement de la Commission occidentale, Ursula von der Leyen, a annoncé un «accord écologique européen» et le paiement de la Commission a affirmé la nécessité pour l’Europe de créer un nouveau produit de progrès pour atteindre la neutralité climatique. Néanmoins, le regard limité de la Commission sur la «productivité» ignore la vérité selon laquelle l’augmentation de l’efficacité du travail peut augmenter les émissions et augmenter le réchauffement climatique. Comme alternative, cette ligne fait valoir qu’un paquet écologique axé sur le bien-être exige de prêter attention à la source d’information ainsi qu’à la productivité, sans augmenter l’efficacité du travail. La nouvelle dirigeante de la Commission occidentale, Ursula von der Leyen, a annoncé un «accord écologique européen» comme idée pour tout nouvel agenda. Cela va faire de la perception: il propose d’améliorer la dynamique monétaire ainsi que de lutter contre le réchauffement climatique, en utilisant ses effets de plus en plus évidents pour tous et des implications spécifiquement graves pour ceux qui sont beaucoup moins privilégiés. L’offre verte préparée, qui peut gérer la santé et le bien-être, est en fait une unité de contrôle et un système unificateur pour les lieux associés. Sa mise en œuvre exige des réformes économiques en retard et un changement de comportement de la part des personnalités politiques et des résidents. Néanmoins, un autre sommet météorologique à Glasgow nécessitera une meilleure planification que celui de Madrid en décembre 2019. Le semestre occidental en tant que dispositif d’application de la couverture Initialement, il semble que la bureaucratie de la Commission occidentale l’ait compris. Dans une conversation en cours pour le Parlement intitulée «Stratégie de croissance annuelle durable» (Western Percentage 2010, 2019), le développement monétaire est proclamé comme n’atteignant pas une fin en soi; il est affirmé que l’union européenne doit créer un nouveau modèle de croissance vers ses aspirations pour atteindre la neutralité environnementale, et que c’est le travail du semestre européen – l’école fournissant des suggestions financières une fois par an – d’observer cette nouvelle technique comme ainsi que son exécution dans les pays membres. Cependant, quelles pratiques semblent très hors du jour et endommageront définitivement toutes les transformations envisagées. La principale préoccupation est l’utilisation non critique de la perception de la «productivité», qui domine ce qui doit être une stratégie de progrès durable. La tendance à long terme de la régression de la croissance de l’efficacité est inscrite au cœur des problèmes occidentaux. Le document indique que l’Europe exige un changement de sa culture basé sur les objectifs quadruples de productivité, stabilité, équité et environnement, mais il utilise au moins 10 fois l’expression «productivité» sans à aucun moment la déterminer ou à un moment donné. minimum admettant qu’il existe extrêmement plusieurs types de productivité. Les constituants d’une productivité accrue Nous nous efforcerons de combler cette lacune. La productivité indique une production beaucoup plus élevée par entrée. Nous réservons la façon dont la production est évaluée, car il s’agit généralement d’un travail pour les professionnels. Mais ce qui est très important, c’est le fait que l’efficacité peut être considérée comme plus de productivité par travailleur, plus de production par achat de fonds, ou plus de production pour chaque apport de vitalité et de ressources. Toutes ces productivités partielles, avec un surplus qui est considéré comme l’effet de la méthode d’avancement, génèrent une «productivité totale des facteurs». Mettons également de côté le capital-facteur qui est encore une fois difficile à mesurer (mais des règles existent). Le problème est que dans cette interaction, la productivité est implicitement comprise pour devenir l’augmentation de la productivité de chaque personnel, qui fait partie de la productivité du travail. Ce terme est devenu au centre de la couverture ces dernières années, et il préoccupe néanmoins les spécialistes mal orientés qui envisagent au sein du paiement de la Commission européenne. Ils ne réalisent pas ses avantages et ses inconvénients, en particulier lorsque l’augmentation de la productivité du travail est de plus grande taille par rapport à la productivité des ressources. L’avantage de l’augmentation de la productivité du travail est qu’elle pourrait conduire à plus de loisirs, et si cela ne semble pas accepté, cela permet une productivité et un salaire plus élevés. Cependant, son inconvénient est qu’il est loin d’être combiné à une productivité accrue des sources, une productivité accrue augmentera les polluants et accélérera le réchauffement climatique. Et c’est un facteur améliorant la nécessité du progrès, si le chômage n’est pas négligeable. D’un autre côté, l’augmentation de la production par source d’entrée permet une plus grande production sans augmentation des émissions (Aiginger et Rodrik 2020). Si ce «gentil cousin» de la productivité du travail est suffisamment fort, nous pouvons bénéficier d’un salaire et d’un bien-être plus élevés combinés à une réduction stricte des émissions, ce que l’on appelle le «découplage absolu». Les objectifs du contrat de Paris nécessitent un découplage sérieux. Sans une productivité des ressources en forte augmentation, une production plus élevée compromettra la lutte contre le changement climatique.

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